Le Mensonge en Nous
Rui Perdigão ©
"Mulher nua na Cidade". Pintura. Guache s/cartão madeira. (1985).
"Naked woman in the City". Painting. Guache on cardboard wooden. (1985)
Depuis la première exposition individuelle, les pas oscillent entre les périodes de grande intensité productive et les périodes d’extrême apathie et indifférence. Les options techniques et le dessin se basent dans la nécessité de créer des objets dynamiques, résultants d’une idée ou synthétises dans un message. Le raisonnement, dans l’essentiel, est graphique, revêtu par différentes techniques de peinture. Jamais il y a eu la préoccupation de signer un style. La versatilité peut-être aussi une forme d’identité, car il reste toujours une marque individuelle. Raison, d’autant de phases différentes, jusqu’au point de paraître d’avoir été tout imaginé par des différentes personnes. Mais il y a des lignes conductrices de l’expression qui identifient des trais d’union assise sur la curiosité, éveille à tout ce qui est hermétique. Il subsiste toujours le doute de l’existence d’entités abstraites qui nous permettent de percevoir le Tout. Et on rejette la possibilité de la personne humaine d’être complètement incrédule.
Il reste la volonté de découvrir le Mensonge en Nous mêmes. Pour la reconstruire. Pour donner crédit à l’idée de que les simulacres de la Vérité sont des réalités quand ils se détachent de nos mondes personnels, en particulier dans les objets d’Art. Le mensonge qui nous entoure, le rien et le vide, pourront avoir à voir avec la possibilité de tout n’être qu’un rêve dans une autre dimension, devenu réalité après s’être vivifié, tout comme la plus paradoxal oeuvre d’art. Les hasards et les coïncidences, le déjà vu qui nous confond, ce sont de motifs d’étonnement, comme si simultanément se déroulé un autre univers énigmatique, avec une logique capable de donner un sens aux choses les plus inconcevables, à défier les capacités d’assimilation, de contemplation, de raisonnement et de compréhension. Stimuler la capacité de comprendre le sens de la vie.
Merci Alain (Merelo de Barbera) pour la traduction
Etiquetas: Introdução
0 Comments:
Enviar um comentário
<< Home